Rédaction BtoB leaders 
Selon une étude menée par le Pedowitz Group et Ascend2, les entreprises du B2B sont de plus en plus nombreuses à (enfin) se saisir de la problématique du désalignement entre les équipes marketing, Sales et service pour maximiser leur performance globale. Nous présentons ici les principales conclusions de leur étude.
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Seuls 29 % des professionnels se disent satisfaits de l’alignement de leurs équipes
Il y a quelques mois, une étude réalisée par Dun & Bradstreet expliquait que l’alignement Vente et Marketing était considéré comme « désormais important » par 94 % des chefs d’entreprise. Le Pedowitz Group et Ascend2 ont capitalisé sur cette enquête pour dresser l’état de l’existant en la matière. Principale conclusion : seuls 29 % des professionnels estiment que leurs équipes sont « totalement alignées ». Dans le détail, ce sont les professionnels du marketing qui jugent le mieux l’alignement dans leur entreprise (36 %), suivis par les professionnels de la vente (32 %) et enfin les professionnels du service client (21 %).
On note toutefois un facteur d’optimisme intéressant : plus des deux tiers (69 %) des entreprises interrogées par Pedowitz Group et Ascend2 disent « œuvrer pour aligner leurs stratégies, leurs objectifs et les efforts de leurs équipes ».
Les professionnels sont unanimes : l’alignement est un catalyseur de performance
Selon les professionnels interrogés par Pedowitz Group et Ascend2, l’alignement des équipes est l’une des clés de la performance globale. En atteignant cette synergie opérationnelle, les équipes peuvent doper l’expérience client (58 %), améliorer le taux de conversion (41 %), mieux exploiter la Data (34 %) et améliorer l’expérience collaborateur (34 %).
Les entreprises qui misent sur le RevOps dopent leur CA
Toujours selon l’étude Pedowitz Group x Ascend2, 88 % des entreprises qui alignent leurs équipes atteignent ou dépassent leurs objectifs de chiffre d’affaires. Parmi les entreprises en croissance, 48 % ont aligné leurs trois équipes (vente, marketing, service client), contre 56 % chez les entreprises qui s’attendent à « largement dépasser leurs objectifs de revenus » en 2023.
