Exclaimer, spécialiste de la gestion de signatures électroniques, a récemment publié une étude examinant l’impact des signatures électroniques sur la génération de leads en 2023. Retour sur les faits marquants avec BtoB Leaders.
Signatures d’emails : peu de marketeurs ont une plateforme de gestion dédiée
Le récent rapport d’Exclaimer indique que la majorité des professionnels du marketing anticipent un impact positif des signatures électroniques sur la génération de leads en 2023. Cependant, seulement 29 % d’entre eux disposent d’une plateforme de gestion dédiée à ce type de contenu.
68 % des marketeurs interrogés jugent les emails comme un élément clé de leur stratégie de publicité numérique. Par ailleurs, 48 % estiment que les emails sont le principal canal de communication utilisé par leur entreprise. Aussi, 21 % ont indiqué que l’email marketing constituait leur principal domaine d’investissement pour l’année en cours, surpassant ainsi les réseaux sociaux, le marketing d’affiliation, la publicité TV et le SEO.
Ces données revêtent un intérêt particulier si l’on considère que 42 % des clients éprouvent une certaine réticence à l’égard des entreprises qui leur envoient des emails sans signature « brandée ». De plus, 38 % des clients déclarent qu’une signature professionnelle renforce leur confiance envers l’entreprise. Curieusement, Exclaimer note que 42 % des marketeurs ne perçoivent pas l’intérêt d’intégrer une signature électronique à leur stratégie marketing.
Signature d’email : un vecteur de confiance et d’engagement
Selon Exclaimer, 53 % des marketeurs utilisent des signatures d’email pour assurer la cohérence de la marque, et 78 % jugent qu’une entreprise doit uniformiser ses signatures à l’échelle. L’étude a listé les trois principaux facteurs qui inspirent immédiatement confiance au destinataire de l’email :
- Un contenu bien rédigé (56 %) ;
- Une signature professionnelle (50 %) ;
- Une mise en forme dans les règles de l’art (48 %).
Les trois principaux obstacles à l’engagement des clients avec les emailings sont les erreurs d’orthographe (67 %), une mise en forme inappropriée (56 %) et l’absence d’une signature professionnelle (41 %).