Les marketeurs américains commencent à envisager la RV, la RA et le métaverse

Les marketeurs américains sont nombreux à penser que la RV, la RA et le métaverse joueront un rôle dans leurs interactions avec les clients au cours des 12 prochains mois. C’est en tout cas ce que vient de révéler « US Social Media trends for 2022 and Beyond », une étude menée par Sprout Social.

« US Social Media trends for 2022 and Beyond » : principales conclusions

La réalité virtuelle (VR), la réalité augmentée (AR), la réalité étendue (XR) et le métaverse ont un avenir dans la pratique marketing B2B.

Selon « US Social Media trends for 2022 and Beyond », une étude signée Sprout Social, 50 % des marketeurs estiment que la RV, la RA ou la RX joueront un rôle dans leurs interactions avec les clients dans les 12 prochains mois. Aussi, 39 % des spécialistes du marketing estiment que le métaverse jouera un rôle dans leur quotidien dans la même échéance. 

Dans cette optique, 38 % des marketeurs affirment qu’ils vont consacrer entre 25 % et 50 % de leur budget à leur stratégie sociale liée au métaverse, à la RA et à la RV au cours des deux prochaines années.

Face à l’émergence des nouvelles technologies, certaines professions choisissent de temporiser. Selon l’étude de Sprout Social, les marketeurs ne font clairement pas partie de cette catégorie. L’adoption en cours de la RV, la RA et du métaverse est là pour le prouver, tout comme l’augmentation du budget dédié à cette nouvelles fulgurances technologiques.

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Les marketeurs ont peu d’influence sur les décisions budgétaires

Bien qu’ils aient exprimé leur envie de consacrer une plus grande partie de leur budget à ces technologies émergentes, force est de constater que les marketeurs n’ont toujours pas la main sur les décisions budgétaires.  Selon « 2022 State of Marketers Survey », une étude réalisée par SJT Marketing et YourMarketer, 75 % des marketeurs ont un pouvoir budgétaire restreint. Aussi, 90 % d’entre eux affirment qu’ils peuvent prendre certaines décisions en matière de stratégie, mais qu’ils ne sont pas consultés sur toutes les décisions qui concernent leur département.